Baignée dans «l'immense décor d'une blancheur éclatante», la chorégraphie, d'une durée de 75 min, étonne par sa luminosité, l'intériorité palpable de la danse et la sensibilité de ses interprètes: une oeuvre «tout en contrastes» et «fascinante», souligne la presse montréalaise.
La gestuelle y est à la fois tellurique et attirée vers les hauteurs. Le torse, les bras, les mains, le bassin, les jambes, tout est ouvert, offert au monde, mais Tremblay fait aussi passer dans les corps des contractions intenses qui les investissent d'une densité palpable. (La Presse, Montréal.
Un travail unique des mains propre à l'art indien.(Le Devoir, Montréal.)
Le chorégraphe cherche à procurer un sentiment de l'Himalaya, au-delà des clichés, explique (Richard Tremblay) cet homme de scène expérimenté.(Voir, Montréal.)
Quand Richard Tremblay pense 'montagne', il pense Himalayas... Spectacle intéressant à plusieurs points de vue.(Radio-Canada, Montréal.)